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DS s. Pisx.x.1, chap. I. 369 14 Car jcfyay quedans peu de temps je dois quitter cette tente, comme nostre Seigneur J e- 7<«i u> susChrist me l’a faitcennoistrc. ly Mais i’auray soin que même 7 après mou départ vous puilfieï toujours vous remettre ces choses en mémoire. 16 Aureste ce u’estpeint en fiiivant det là- bles si des fiétions ingenieufes que nous vous a- vons fait conuoistrc la puissànce & l’advenc- . ment de nostre Seigaeur JesusChrist, mais c’est ^és avoir esté nous mêmes les fpe- élateurs delà majesté. 17. CarilrcceutdcDicu le VetemiUuflre témoignage honneur Sc. de gloire, * Iorfque de cette nuée où la gloire de Dieu paroiflbit avec tant d’éclat on entendit cette voix: Voicy Mettk. mon Fils bicnaimé daus lequel j’ay mis toute £* monaflèélion. 18 Et nous entendîmes nousmémes cette voix qui venoit du c ici, lorlque nous estions avec luy sur la (àinte montagne. 19 Mais nous avoBs les oracles des Prophetes, dont la certitude est » plus aiFenmc, auxquels vous frites bien de veus arrester comme i uue lampe qui luit dans un lieu obfcur. jusqn’à ce qiK le jour commence à vom éclairer, Sc que l’fcoilc du matin fc levé dans vos cœurs ; 10 estant perfuadez avant toutes cbofos que "nulle prophétie de TEctitarenc s’explique par une interprétation particHliere. 7 /. v.apiésmamoR. 8 /. lorfqoe de la gloite nvfnifiqiK. 9 aWijiMnittiMiitpIusaSa:- tnic fer l’evcnetatnt. 10. 4«. nulle explication de l’Ectlture ne ft âicpat uneiatetpiMadon panita- lie«; ex. rireArk humein aid si fiéit liefmtmt, tmlku it fièvre t’ejjnit&Utreri’ timiel’ftfifi. «