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Bi S.P IIRRI, Chap. V. j£} fc mêlant témérairement de ce quineleregar- de pas. ’ 16 Que s’il foulFre comme Chresticn, qu’il n’en ait point de honte, mais*qn’il en glorifie Dieu. 17 Car c’cft icy le temps auquel Dieu doit commencer /in jugement par sa propre mai- fon. Et s’il commence par nons, qnelle fera la fin de ceux qui n’obeïiTcntpointàTEvangilede Dicnî It Que si le juste même ft sauve avec tant fnv. n. de peine, » que deviendront les impies & les pecheurs i 19 C’estpourquoy que ceux qui fouffrent felon la volonté de Dieu, remettent leurs ames entre les mains de celny qni en est le créateur,& qui leur fera fidelle, s’ils ferfiverent dans les bonnes Œuvres J". g l.v. qu’il glorifie Dieu en ce nom. 5 tut. comment l’impe Sc le pecheur poutiom-ils fubfiilcc cp la ptelêncc fc Dieu* Chapitre V. §. ï.VrayF/ftettrveUlefansintere/ii emsbthfims dominer, e/l le modèle defon trosffeau. 1 T E m’adrefle à vons qni estes prestres, eC- J tant prestrc comme yons, & témoin des Ibnfirances de J-ffm Christ, & devant participer à là gloire qui fera un jour découverte. 2 Paillèz le tronpean de Dieu qni vous est commis, veillant sur là condnitc, non par une nccclfitc forcée, mais par une affcâion toutç Aa «