Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/365

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îfS\tI. Epistre Gm. II. ^ pomme faisoit Sara qui obcïflbit à Abra- IX.\tham Tappellantfon Seigneur ; Saradit-je, dont vous estes dcTcnües les filles en imitant ifr bonne vie < fc.ne vous laiflànt abbattre par ancune crainte. i.Ca.7.}. 7 Et vous dcméme maris, vivez làgement a- Tce vos femmes, s rendant honneur a leurfexe qui est plus foible, & confiderànt que vous devez estre héritiers avec elles de la grâce qui donne la vie ; afin que vos prières ne foient point interrompues. ^.z.Elhetmdre ficompatijfattt. Ne craindre Us maux. Répondre avec modeSiie. Souffrir de bon coeur. Baptême. t S.Dim. 8 Enfin "J" qu’il fc trouve en vous tous une aprésla parfaitte union, une bonté compatiflànte., u- Pentcc. amitié de freres, ♦ une affeétion pleine de tendreflè, nne douceur qui gagncles cœurs. TnvTj. ^ Ne rendez point mal pour mal, ny outrage IJ. pour outrage ; mais aucontrairebeniflèz Rtm.11.\tmaudiffent.\tfçachant qnc c’est à cela î^ribç^j.qne vons avez esté appeliez, afin de recc- II.\tvoir comme héritiers la benediélion que Dieu vous referve. pyjj.ij. 10 Carfi qadqa’an aime la vie, & desire que fes jours foient heureux, qu’il empefchc que fa. langue ne fo porte â la médifance, & que fes lèvres ne prononcent des paroles de menfonge. Jfaï.j.is. II Qifil se détourne dn mal & fafle le bien ; qu’il 3 «M. les titittanc avec honneur tC citconfpedtion comme des vafes fragiles, & confiderànt, Scc, 4 l. V. foyez misericoc- dieiii, modcfres, humbles. «