Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/343

jj£\tE\tP I * T R. 8 ypareiifoitdebeau s’effce^ feperd ; ainsy Ic riche fechcra si se flestrira danjfts voies. •fUnS. t Heureux ccluy qui foul&c patiemment Mait- les tentations les maux dt cette vie, parce que Pontife. Iorfque fù vertu aura esté éprouvée il recevra la couronne de vie que Dieu a promifc à ceux qui l’aiment IJ Que nul ne dife lorlqu’il est tenté ; Que c’est Dieu qui le tente. * Car comme Dieu ne peut estre tenté d’aucun mal, il ne tente auflÿ personne. 14 Mais chacun est tenté paria propre concupifcence qui l’emporte & qui l’attire dans le mal ; 15 & ensuite quand la concupifcence a eon- ceu elle en&ntelcpeché; &lepéché estant accompli engendre la mort. i£ Ne vous trompe:^ donc pas, mes chers freres, -t4.Dim. 17 J toute grâce excellente & tout don par- fait vient d’enhaut, & dclcend du Pere des lu- mieres, * qui ne peut recevoir ny de changement, ny d’ombre par aucune révolution. i8 C’est luy, qui par lemcMvementdefapMre volonté nous a engendrez par la parole de la vérité; afin que nous fiiffions comme des prémices de ses créatures P1VV.17.\t19\tAinfy,\tmes\tchers\tfreres,\tque\tchacun de vous soit prompt a écouter, lent à parler & lent à fc mettre en colcre. 20 Car la colere de l’homme n’accomplit point la justice de Dieu. X /. «. Car Dieu est inc»- ptlble d’aoainc révolution pahle()etemer, fcde pouf- ne peut recevoir ny de changement, ny d’ombre. )igi1ized by fer au mal. .) au. qui u’estant filfce-