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19. }i£\tde\tSi\tPaul y Et avez-vous oublié cette exhortation qni s’addreflè à vous comme eflant enfans de Dieu f trtv.q. Mon fils, ne négligez pas le chaftiment dont II- le Seigneur vous corrige, & ne vous laiflèa pas abbatrc lorfqu’il vous reprend. 6 Car le Seigneur chaftie celuy qu’il aime, & il frappe de verges tous ceux qu’il reçoit au nom - brc de ses cnÉins. 7 * Ne vous laflèz donc point de fouffrir, Dieu vous traitte en cela comme ses enfans. Car qui est l’enfànt qui ne soit point chaftie par fon pere? g Et si vons n’estes point chaftiez, tous les autres l’ayant esté, vous estes donc baftards, Sc non pas devrais enfans. 9 Quefi nous avons eu du respeél pour les peres de nostre corps lorfqu’ils nous ont chaftiez, combien devons-nous avoir plus de foûmiffioa pour celuy quiest le Pere des esprits, afindcre- ccvoir de luy la vraie vie ? 10 Car quant à nos peres, ils nous chaftioicnt •comme il leur plaisoit, afin de mus regler pom cette vie qui dure si peu ; mais Dieu nous chaftie pour nostre bien véritable, afin denousrendre participans de fà fâinteté. 11 Or tout chaftiment, lorfqu’on le reçoit, semble caufer de la triftcflè & non de la joie : mais ensuite il fait recueillir en paix les fruits de la justice à ceux qui auront cfté ainsy exercez. §. z. Fermeté. Droitture de cœur. Excellence dt F Eglijè audejfus de la jÿnagogue. Voix du sang de JefissChriJl, 11 Relevez donc vos mains qui font lan- guif- X g. Si vous tecevcz des chafUmcns. «