Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/280

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a’ t i m o the’h, Chap. 11.’\t17} ïant au noni du Seigneur de ne point s’amulèr i desdilputes de paroles, qui nefont bonnes qu’à pervertir ceux qui les écoutent. 15 Mettez-vous en estat de paroistre devint’ Dieu comme un ministre digne de son approbation, qui ne fait rien dont Sait fujevde rougir, & qui fçait bien ® difpcnfer la parole de vérité. 16 » Réprimez les difcours vains & prophanes ; car ceux qui m fint les auteurs croistront toujours dans l’iiftpieté ; 17 &leardoârine, commelagangrcne, gafte- ra peu à peu cequiefifitin. De ce nombre font Hymenéefc Philete, 18 quifo font écartez du chemin de la vérité, en difent ; que la refiirreélion est déjà arrivée, & qui ont ainfif renverfé la foy de quelques- uns. 19 Mais le folide fondement de Dieu demeure ferme ayant pour fceau cette parole: LeSeigneur connoist ceux qui font à luy : & cette autre: Que quiconque invoque le nom àç Jesus- Christ s’éloignedcriniquité. 10 Or dans une grande maison il n’y a pas feulement des vafes (for & d’argent, mais. aidTy de bois, & de terre ; & les uns font pour des ufages honnestes, les autres pour des ufeges honteux. 11 Si quelqu’un donc "fegardedetoutcequi est impur, il fera un vafc d’honneur, fanétifié, & propre au serviee duSeigneur, preparé pour toutes fortes de bonnes oeuvres. 8 /.^.cBuiwfep4<((de la |iaroIe(fev(xité. 9 /.v.£rit». IO /. se purifie de tuiite? «s cliofes. «