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14*’\t!•\tEïISTRB\tDE\tS.PAUL Chapitre V. 5.1.\ty»$trdu Seigneurmeertai». Surprifedes tnéchans. Etfims dufour<fidelamit. Armesdelafoy. 1 R pour ce qui regarde le temps Si Vw^les momens de cet avenement de Je- fitsChrift, il n’est pas besoin, mes freres, de vous en écrire ; 2.PKI’.}. z parce que vous sçavez bien vousmémes que ^ lejourduSsigneur doit venir comme le larron i. iS.’i], qui vienf dans h nait. 3 Car lorfqu’ils diront : Noue fmmes en paix &«wlùreté, ils se trouveront furpris tout d’un coup par une mine impreveiie, comme une femme grofle par les douleurs de l’enfantement, làns qu’il leur reste aucun moyen defcfàuver. 4 Mais quant à vous, mes freres, vous n’estes pas dans les tenebres en Ibrte que ce jour vous puilTe furprcndre comme un voleur. y Vous estes tous des enfans de lumière, & des enfàns du jour. Nous ne sommes point enfans de la nuit ny des tenebres, 6 Ne dormons donc pas comme les autres, mais veillons, & • gardons nous de l’enyvre- ment de Famé. 7 Car ceux qui dorment, dorment durant la «ait ; & ceux qui s’enyvrerit, s’eny vrent durant U nuit. Jpû-ii’ 8 Mais nous qui sommes erfims du jour Ephef. i * gardons-nous de cet alToupiflèment & de cct- 14,17. ’ te yvrcflè,& armons-nous en prenant pour cui- l’I.fcsoyonsfobies. | 2/.soyonsfobKs.