Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/247

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14A\t!•\tEpiîtrï D* S. P AUt ’ 6 Ctaepcifonne n’opprime son frere, ny né luy faiie tort dans aucune affaire*» prce que le Seigneur est le vengeur de tous ces pechez» comme nous vous l’avons déjà déclaré, & affu- rédefapart. 7 Car Dieu ne nous a pM appeliez» pour estre impurs, mais pour estrelàints f. g Celuy donc qui méprifc ces réglés, méprife non im homme, mais Dieu qui nous a donné fon S. Elprit. Jes» IJ. 9 Qmm à ce qui regarde la charité frater- J4.i ;.i4> nclle, vous n’avexpas besoin que je vous cn-écri- î%««» 1\t’ puilque Dieu vous a appris lùyméme à vous 104. li,’ aimer les uns les autres, 10 Car vous le frites aussy à l’egard de tous Wfsfreres qui font dans coutela Macedoine. Mais je vous exhorte, mes freres, de vous avancer de plus en plus dans cet amour ; 11 de vous étudier a vivre en repos ; de von* appliquer chacun à ceque vous avez à frire ; de travailler de vos propres mains ainsy que nous l’avons ordonné ; 12 afin que vous vous conduifiez honneste- ment envers ceux qui font hors de l’Eglise », & que vous vous mettiez en estat de n’avoir besoin de personne. §.x. PleurerUsmortsnoaen payens, mais en chrefiiens. PJferer la rtfkrreSHon.\t1 t Pout 13 t Or nous ne voulons pas, mes frcres, que un Mon. vous ignoriez ce que vous devez sçavoir tou- 1 Flufitun P expliquent de Pinjure qu’enfaitiunhom- me en portant sa femme à Iny manquer de fidélité. 3 au. al’iroputecé. mais âlaânâliîcation. 4 4». 8c que vous ne délitiez tien de ce qui est aux auctes. ib, G 00g le