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AUX Galates, Chap. n. 167 Rv». t. phu cooliderables ne m’ont rien appris de nou- "■ veau ;\tfl’!’-\t^-9’ 7 mais au contraire ayant reconnu que la i. Pùr.i. charge de prescher l’Evangile aux incirconcis "7- m’avoit esté donnée, comme à Pierre celle de le prescher aux circoncis ; 8 (car celuy qui a agi effica’cemeut dans Pierre pour le rendre Apostre des circoncis, a aulTy agi efficacement enmoy pour me rendre Apoftre des Gentils, ) 9 ceux dis-je qui paroiflbient comme les co- lomnes detEgtife, Jacquet, Cephas, &Jcan, ayant reconnula grâce que j’avois receue, nous donnèrent la main d Bari»bé & à moy pour marque de la focieté de l’union qui estoit en- tr’cux & nous, afin qne nous prefcluffions l’Evangile aux Gentils, & eux aux circoncis. ’IO ils nous recommenderent seulement de nous souvenir des pauvres: ce que j’ay eu aussy grand soin de faire.. §. x.^’iluefiéeèligéderefifterenfiueks. Pierre. Nuljustifiéqsuparlufy. Cefijefut- Chriji qui vit en S. Paul. Il Or’Pierreestant venu à Antioche, je luy refiftay en face parce qu’il estoit reprehenfible. Il Car avant que quelquesuns qui venoient d’avec Jacques fùflênt arrivez, il mangeoita- vcc les Gentils ; mais après leur arrivée il se retira fecrettement, & se fêpara ri avec Us Gentils, ayant peur de èUffer Us circoncis. IJ Les autres Juifr ufèrent comme luy de cette diffimulation, &Barnabé même s’y laiflà aussy emporter. M a v.Cçplias. Digrtized by