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1^6 EpîstredïS. Paul Chapitre IL ■Q! §. I. Pmeté de lEvungde fiuteme sur S.Euul eontrelesjsedutfuns. llefirecermutA- pstre des Gentils, comme S. Pierre des Juifs. ^ U A T o R z E ans après j’allay de nou- , veau à Jerufàlem avec Barnabé, & je pris aussy Tite avec moy. i Or j’yallay fiiivaut une révélation yMj’eu uvois eue, & j’expolây aux fidelles, & en particulier à ceux qui paroiflbient les plus coniidera- bles l’Evangile que je presche parmy les Gentils, ’ afin de ne perdre pas le fiuitde ce que j’avois déjà fait, ou de ce que je devois faire dans le cours démon miniftcre. J Mais on n’obligea point Tite que j’avois amené avec moy & qui cftwt Gentil de lê faire circoncire 4 & la confideration des faux freres qui s’cf- toient introduitspar furprife duns tEgUfe, Si qui s’estoient cou vertement gHflèz parmy noils pour obferver la’liberté que nous avons en JesusChrist, & nous réduire en lèrykude, y ne nous porta pas à leur ccdcr même pour un moment. Si nous refiifrfmes de nous allu- jcttiràce qu’ils vouloient, afin que la vérité de ‘ l’Evangile dcmeuraft toute pure parmy vous. Diui. 10. C aussy ceux qui paroiflôient les plus conlî- derables, ( je ne m’arrcftepas à cç qu’ils ont cfté Sap^e.^i’. Autrefois > Dieu n’a point d’cgard i la qualité Eccii.^}. des personnes) ceux, dk-jV, qui paroiflbient les AS. IO.\t*■ ?4.\tI /. depeur de courir, ou d’avoir couru en vain. «