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AUX Corinthiens, Chap.III. iji glorieux, celuy qui f durera\tle\tdoit\testre beaucoup davantage. Il Ayant donc une telle elperance nous vous parlons avec toute forte de libené ; 13 & nous ne faifons pas comme Moyfe qui M* mettoit un voile Cir son vilàge,»»a»ij««tfp«rl« qocles eB&n$ d’Ilraêl nepourroient arrestcr leur Ttuefur celuy qui cftoitla fin‘delaloy laquelle devoir cellèr: Étainsy leurs efyrit* font demeurez endurcis & aveuglez. 14 Carjusqu’aujourdhuymême, lorlqu’ilsli- fentle vieux Tcftamcnt, ce voile demeure toujours sur leur cœur, sans estre levé, parce qu’il tte s’oste que par JefietC H * 1 s t. ly (Ainlÿ jusqu’à cette heure lorfqu’on leur lit Moylè, ils ont un voile sur le cœur, 16 Mais quand leurcoeur se tournera vers le Seigneur, le voile en lèra ofté. 17 7 Or le Seigneur est Elprit:& où est l’esprit Jern 14. du Seigneur, là m auflÿ la liberté. 18 Ainlÿ nous Cous n’ayant point de voile qui nous couvre le vilâge, ® & contemplant la gloire du Seigneur, nous sommes transformez en la même image », noiÿ avançant de "clarté en clarté "par l’illumination de l’esprit du Seigneur. î /.demeiue. 6 On a finvi k grec qui jSrn in finon./• xn^. Ar in fodem. 7 M. l’Elprit est le Sei- goeini ««, le Seigneur est cet esprit. 8 M. 8c recevant comme pairErpritduSeigaeat des ndioin UgloiteduSd’ : gncut, w, contemplant conune en un nûtoit. 9 cx.tnU reJamHanade "Dien. loi.g, de gloitc en gloire. Il »».g. pot l’Elpric qui est le Srigneut. M./.comme «