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AUxCoRlMTHlSMS, Chap.III. izp 1 y Car nous sommes devant Dieu la bonuç odeur de J^iwC H r i s t soit à l’égard de ceux quife làuvem, soit à l’égard de ceux qui reperdent ; 16 estant aux uns une odeur de mort» qui les kit mourir, & aux autres une odeur de vie‘qui b kit vivre. £t qni est capable 7 d’un telmi- niftere? 17 Car nous ne sommes pas comme plusieurs qui alterent ^ qui jfellîfient la parole de Dieu ; mais nous la prefcbons avec une entière finceri- té, comme de la part de Dicuenlaprelcncedc pieu & * dans\tfe C H RI s T. { (.pouilaniort.\tI\t7/.decwchosei. S/.pouclavie.\t*\tg nx.tmtumdeJ.C. Chapitre III. J.i. Lettre vivame écrite furlestaiksdu cœur farleS.Efflrâ. Nulle bamefetféefi Dieu mladeime. i\tOmmenceroNS - nous de nou- veau à nous relever nousmémes ? & avons-nous besoin, comme quelquesuns, que d’autres nous donnent des lettres de recommendation envers vous, ou que vous nous en donniez eut/err fer autres T X Vous estes vousmémes nostre lettre fer«- smmeasUtion, qui est écrite dans nostre cceur, qui est reconnue & leüe de tous les hommes ; î vos aérions làilànt voir que vous estes la lettre de Jesus Christ* dont nous n’avons esté que les Iccretaires ; fc qui est écrite non avec de l’ancre, mais avec l’esprit de Dieu vivant ; non I AadminUlrcepaineus. ■ «