Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/134

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Aux Colt I NTHi IMS) Cbap. tl. 117 Chapitre II. <i.i.CharâédeS.Tml mvirs les fidelles. Smin- dsilgence envers t mefisseuxf enitent. 1 1 E rdblus donc en moyméme, de ne vous «I aller point voir de nouveau, depeur de TOUS caufer de la triftellc. 1 ’ Car si je vous avois attriftez, qui me pour- Toit réjoiiir ; puisq ue vous qui le devriez faire feriez vousmémes dans la triftelle que je vous lotoiscaufce? } C’est aussy ce que je vous avMs écrit ; afin que venant vers vous, je nercceuflèpastriftef- fc Gir triftcliê de la part même de ceux qui me dévoient donner de la joie ; ayant cette confiance eo vous tons, que chacun de vous trouvera fà joie dans la mienne. 4 Et il est vray que je vous écrivis alors dans une enrcme affliétion, dans un ferrement de coeur, fcavecfinegrandcabondanccdelarmes ; non dans le deflcin de vous attrifter, mais pour vous feire coimoistre la charité toute particulière que j ’ay pour vous. y Que si l’un de vous m’a attrifté, il ne m’a pasattriftémoy ftul, mais vous tous aulïÿ, au moins en quelque forte ; ce que je dis pour ne k pointfurcfaarger dnwyto 6 II fhffit pour luy en l’estat où il est, qu’il ait fitU la correâion (ÿ> la peine qfùluy a efiémpofet pat vostre affetablée ; 7 Sc vous devez plutost le traitter maiu- I V 1 /■ Cat li)e vous attrifle, 1 la. finon celuy qui auiacfté quiestcduyquimeiéjoüi-1 atttillépatinoyî Digrtized by