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AUX Corinthiens, Chap.XIV. 107 j. a. La charité ne fimra point. Comtoijfance de Dieu imparfaite m cette vie. 8 Lacharité ne finira jamais. Les prophéties s’anéantiront : les langues ceflèront ; &la fcien- ce (êra abolie. 9 *Car ce que nous avons maintenant de fcicnce & de prophétie, est très imparfait. 10 Mais lorlque nous ferons dans l’estat par- kit, tout ce qui est imparfait fera aboli. 11 - Quand j’esto» enfiint, je parlois en en- knt, je jugcoisen cnfiint, jcraifonnoiscnen- knt: mais lorfquc je suis devenu homme, je me fuis défait de tout ce qui tenoit del’eufaut. Il Nous ne voyons maintenant que comme en un miroir, & en des énigmes ; mais alors nous verrons Dieu face à face. Je ne connors maintenant j)swqu’im parfaitement, mais alors jeleconnoistray comme je suis moymémc connu d«/Ky. 1} Or ces trois’verfsM, lafoy, l’cfperance, & lacharité demeurent » ; mais lacharité est la plus excellente des trois f. 4 l. Car noosconnoiflôns qm tu fmt pat lu imtgra. en partie» & nousptophe- tmtt, qui fmt donnez, pour liions en partie.\tlei autres, & qui peuvent { ex, parce qu’elles fint ne- eeffir. eefaires à chaque chrefiien, au. demeurent mainte- tr eJeatieBes a l’Eglise ce liant, e’efiadirt m cette vie. Chapitre XIV. $.1. Don des langues. Don dirfirmrepreferaile ssux autres. PrudentefimpUcité. I 1) E CHER CHEZ avec ardeur la cha- aX rité ; desircz les dons fpirituels, &fùr tout de prophetifer. H iij db,