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loi I. Epistre de s. Paat 51 Que si nous nous jugions nousmémes, nous ne ferions pas jugez de Diçu. Mais Iorfque nous Ibmmes jugez de la forte, c’est le Seigneur qui nous chastie, afin que nous ne soyons pas condamnez avec le mon- dcf. }} C’estpourquoy, mes frcres, lorlqucvous vous aflèmblez pour manger demi [EgUfe, itten- dez-vous les uns les autres. 34. Si quelqu’un est prefle de manger, qu’il mange chez luy, afin que vousnevobs aflem- bliez pas à vostre condamnation. Je regleray les autres choies lorfquc je fcray venu. Chapitre XII. §. I. Dons (persttions differentes . du S. Effrit. r "P O u R ce qui est des dons fpirituels, mes freres, voicy ce que je desire que vous fçachiez. tio. 7. f Vous vous fouvcnezbicn, qu’estant payens Ditn.a- vous VOUS laifliez cntraifner, selon qu’on vous Pentec\tvers\tles idoles muettes. 3 Je vous déclare donc que nul homme par- Marcÿ. lant par l’esprit de Dieu ne dit anathémc à J e- 3*- s u s ; & que nul ne peut Confeflèr que Jésus est le Seigneur finon par le S. esprit. 4 Or il y adiverfitc * de dons Jpirituels ; mais il n’y a qu’un même esprit. 5 II y a diverfitc de miniftêres ; mais il n’y a qu’un même Seigneur. 6 Et il y a diverfité d’opérations fumaturel- les-, 1 /.de grâces. «