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96 LEhstri DB S. Paul Il Que çeluy donc qui croit estre ferme J’ prenne garde à ne pas tomber. ïj » Vous n’avez eu«»wr« quedes tentations humaines ^ ordinaires. Dieu est fidelle, &il ne permettra pas que vous Ibyeztentczaudcli de vos forces, mais en permettant la tcnution il vous en fera sortir avec avanugc, en forte que vous pourrez la fupportcr f. » f. X. TTmté des chrfiienspa»tEuef>ariftie. Ne frint ehereherfinprefre interefi. Liberté ehrefiien- ne. Faire tout peur Dieu. 14 C’estpourquoy, mes très chers frcres,’ fuyez l’idolatric. ly Je vous parle comme à des personnes fâ- ges: ^gez vousmémes de ce que je dis. 16 N’est-il pas vray que le calice de bcncdi- étionqucnous beniflôns, estla communion du fàng de ffejùs C H m s t ; & que le pain que nous, rompons, est la communion du corps da Seigneur. 17 Car nous ne sommes tous ensemble qu’un feul pain, & un seul corps ; parce que nous participons tous à un même pain. 18 Confidercz les Ifraclites selon la chair. Ceux qui mangent parnay eux delà viâimeimmolée, ne prennent-ils pas ainsy part à l’autel? 19 ‘ Ce n’est pas que je veüille dire que l’idole soit quelque chose, ou qu’une viande ait receu quelque impreflion pour avoir cfté immolée aux idoles. f l. Je fouhaitte qtfilne vous arrive. 6 1. V. Quoy donc > Dis- {e que ce qui efl immolé à l’idole foie quelque cholè, ou que l’idole même lotE quelque chofi: î «