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PUELLÆ


MONACHA


Des cornettes de lin le rempart éternel
A jeté sur son front comme une ombre glacée ;
Et sa face a pâli, par le sang délaissée,

Et les longs chapelets murmurés à l’autel,
Des liens continus d’une seule pensée
Enveloppant son âme immobile et blessée,
L’isolent des vivants et du monde réel.