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risus rerum
« Verte était la table de jeu
Où je vendis mon âme au dieu
De la bouillotte,
Pâlissant au bruit du râteau,
Jouant un soir et mon manteau
Et ma culotte,
« Pour que ma belle aux yeux de chat
A ses oreilles accrochât
Des pierres vertes,
Et pour qu’elle eût sur le Prado
Des robes en satin vert d’eau
Et très ouvertes…
« Et lorsque je fus ruiné
Et qu’elle m’eut abandonné
Pour un Valaque,
Laissant enfoncé, comme un dard,
Dans mon cerveau son vert regard
Qui me détraque,
« Verte, verte était la liqueur
Où je voulus noyer mon cœur
Et ma détresse,