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de sa dernière lettre à sa jeune parente : « Vous parlez beaucoup de croire et de croyants. Croyez en moi, avec une ferme foi ». C’est-à-dire : — Croyez en mon orgueil, en cet orgueil sauveur par qui j’ai pu souvent agir comme si j’avais été un saint, et vivre héroïquement dans l’état de désespoir.