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Mais, malgré moi, je me suis pris de tendresse pour Hélène Massalska et pour ses compagnes. J’ai senti, en feuilletant le livre de M. Pérey, que tout ce qu’il y a eu d’élégance, d’héroïsme et de fierté dans cette ancienne noblesse française faisait partie de notre patrimoine à tous. J’ai aimé à voir s’épanouir, dans ce royal couvent, ces orgueilleuses et charmantes fleurs de notre race. Plaisir de plébéien ébloui ? Non, mais de Français pieux.