Page:Leibniz - Discours de métaphysique, éd. Lestienne, 1907.djvu/12

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

un très grand nombre de notes, par où s’achève cet ouvrage, toutes les explications nécessaires, et beaucoup de rapprochements avec d’autres textes, dont plusieurs encore inédits. Et si l’on songe à l’inclination de Leibniz pour la scolastique, ou bien à ses préoccupations théologiques, peut-être n’est-il pas téméraire de penser que, par ses études antérieures, son nouvel éditeur était préparé mieux que personne à bien remplir cette partie de sa tâche.

Simple spectateur d’un travail où je n’ai eu d’autre part que la sympathie avec laquelle j’en ai suivi pas à pas les progrès, je me fais un grand honneur de présenter cette édition du Discours de métaphysique, non seulement aux Maîtres et aux Étudiants, mais aussi à tous ceux qui ont encore du goût pour la philosophie.

A. Penjon.