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ßeibnij an gugonty. 681 les objections mêmes. Il est obligé d'avouer que mon système est bien plausible, et il écrit (dit il) pour se fortifier contre son faux brillant. Je ne vous parle point de mes travaux Mathématiques et Historiques, et pour finir, je vous souhaite Castres pour quartier d’eté, aussi bien que d’hyver. C’est assés pour marquer, combien je suis etc. P. S. S’il y a quelque savant, quelque bel esprit de production, quel¬ que bon ouvrage dans vos quartiers ou de votre connoissance, vous m’ob- ligerés de m’en faire part. Je ne say si M. de la Loubere qui a été

*) du Roy en Siam, est maintenant à Toulouse ou aux environs,

car j’espere qu’il est encor en vie, aussi bien que M. de Fermât, fils de ce celebre Jurisconsulte et mathématicien, très habile luy même. J’honnore fort ces Messieurs, et comme je m’imagine qu’il y a encor quelques écrits posthumes de M. de Fermât, je voudrois qu’on les donnât au public. N’y at il pas quelcun qui travaille ou a travaillé à l’Histoire du pays, après M. Catel? Si vous me voulés faire l’honneur de m’ecrire, je vous supplie d’envoyer vos lettres à un ami à Paris, qui les mette entre les mains de M. de Martine, resident de Geneve, qui me les fera tenir. **) II. J’apprends***) avec joye que vous estes en bonne santé à Paris. J’en donneray des nouvelles à M. de la Crose. 11 y avoit des choses dans vos lettres de Catalogne, qui auroient pù me faire du tort, cela m’empecha de continuer ce commerce. Cependant j’avois communiqué à quelques amis seurs à Berlin quelque chose d’une autre nature, qu’il y avoit, ne pouvant faire mieux. Je me souviens, Monsieur, que vous me parlâtes d’un ami, qui travailloit à la nouvelle Edition de Moreri. Elle paroist è present, comme j’apprends, quoyque je ne l’aye pas encor vue. Je ne me souviens plus du nom de cet ami, qui estoit un savant religieux, si je ne

  • ) (tin unleferlidjeô SBort, oieÜeidjt Ambassadeur.
    • ) Oljne Ort unb Statum. Ku* bem folgenben ©djreiben $ugom/* gcljt Ijerbor, baÿ fieib»

nigent ©nef toom 30 de Nov. (1710) batirt ift.

      • ) Hntroort auf Çugonÿ’4 ©ricf Paris 11 Febr. 1714.