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526 iiinleitung.

biefem erften $ti¢f¢, batirt Paris le 1" de may 1692, BttUãl)nt § Jlicaife, bab Sšeibniö bon ãiiom auã burcb bie Qšerinittelung von Qlugout Qšeitrãge baã Sleben von Èàeåcarteã betrefienb, ibm überidficft bûlîûi). biicaiie befebãftigte ficl) uor¿ug8meiie init antiquarifiben ëtubien, bie baã Qlltertbum betrafen ; ieinem erften @cbreiben an îèeibniô legte er eine Qlbbanblung über bie @irenen bei. @in beionbereã @tubium uermanbte er auf bie biumiâmatii ; er ftanb beãbalb init bem berübmten biumiâniatifer Qlnbré Sliorell, bee a16 ãliatb beâ Qåÿrafen bon êibmarjburg in Qlrnftabt fid) aufbielt, in ãšriefmeebiel. §))iorelI gebörte and) gn ben @orrefponbenten Qeibniåenã ; auã einem ieiner äriefe, batirt Arnseat 10 Juin 1697, mag bier eine Cštelle angefiibrt merben, bie eine Cãbarafteriffif 5)iicaifé6 entbâltz Pour nostre M. l’abbé Nicaise, je luy fais réponse cy joint : il est fort bon homme et a le cœur droit, mais il n’a pas tout le jugement requis pour juger des choses en soy : il regarde toujours le courant de l’eau et se laisse eblouir par les apparences du dehors au lieu qu’un homme véritablement raisonnable doit regarder et faire reflexion sur la simple vérité, dont il a conviction en soy même. Il n’est pas fort scavant, cependant il a une demangeaison forte de le paroistre et ce seroit la plus grande joye pour luy si son nom paroissoit tous les jours dans les livres et Journaux des Scavans, ce qui est fort naturel à un génie mediocre. Je l’aime à cause de sa bonne intention, s’il pouvoit seulement pardonner) iöamit ftimmt bie üngabe 8aillet’6 in bet išmebe gn ieinem Qeben fi)e6earte¢` (Vie de Descartes, préface p. XXVI) : Il (M. l’abbê Nicaise) a pris la peine d’écrire à Rome, d’où M. Auzout, qui a vû M. Descartes in Paris, et M. Leibnitz, qui a eu communication des originaux chez M. Oleracher, ont envoyé ce que la mémoire a pu leur suggérer sur ce sujet. — (Soufin (Fragments philosoph. Tom. IV, meleber bic flricie îeibnigenö un fliicalib entblilt) meine, bnf ; bem unten inlgenben erflen @dμeiben Qeibnigene au flieaiie ein irliberes boraufigegangen fei. Sbeni ift iebody nidyt fo, benn es beifit in bem oben ennäbnten etfkn $rief¢ Sïilcaliü an Qeibnijz Agreez, monsieur, que ie m’en acquitte icy en mon particulier et que ie prenne occasion en même tems pour reparrer le passé de vous remercier ansãi des beaux mémoires que vous m’envoyastes de vostre grâce de Rome pour la vie de mons. des Cartes par nostre amy deifunct mons. Auzout, que je me conœntai de prier de vous en remercier de ma part.