Page:Leibniz - Die philosophischen Schriften hg. Gerhardt Band 1.djvu/405

Cette page n’a pas encore été corrigée

des demonstrations de continente ei conlento, oü je demonstray per onracieres (à peu pres de la facon de TAIgebre ei des nombres) des proposiiions sdoni les regles des syliogismes ei quelques proposiiions de maihemalique ne soni que des coi*ollaires].*) J’en pourrois donner non seulemeni sur la grandeur, mais encor sur ia qualil, forme et relaiion bien d’auires, qui se demonsireni ioutes hypoiheiiquemenl sur quelque peu de supposiiions, par la simple subsiiiuiion des charactres equivalenies. Les plus imporianies seroicnt sur la cause, l’effeei, le changement, Taction, le ierops, oü je trouve que la verii ei bien diffei*ente de ce qu’on simagine ; car quoyqu’une subsiance se pisse appeler avec raison cause physicpie ei souveni morale de ce qui se passe dans une auire subsiance, neanimoins parlani dans la riguepr meiaphysique, chaque subsiance (conjointemeni avec le concours de Dieu) est la cause reelle immediaie de ce qui se passe dans eile, de sorie qu’absolumeni parlani, il ny a rien de violeni. Ei mme on peui dire quun ooi*ps n’esi jamais pouss que par ja force qui esi en luy m6me. Ce qui esi encor coofirm par les experiences scar c’esi par la force de son ressori qu’il s’eloigne dun auire Qorps en se restiiuani aprös la compression. Ei’quoyque la force du ressori vienne du mouvemeni dun fluide, neanimoins oe fluide, quand il agii, esi dans le corps pendani quil exerce son ressori]. Mais il sensuii encor que dans chaque subsiance, qui Fesi veriiablement ei qui n’est pas simplemeni une Machine ou un aggreg de plusieurs subsianoes, il y a quelque moy qui repond a ce que nous appelons Famo en nous, ei qui esi ingenerable ei incorruplible, ei ne peui commencer que par la creaiion. Ei si les animaux ne soni pas de simples Machines, il y a lieu de croire que leur generaiioo, aussi bien que leur corrupiion apparenie, ne soni que des simples transformaiions d’un m6me aniroal, qui esi taniosi plus iantosi moins visible. Ce qui estoii dejà le seniimeni de l’auieur du livre De diaeia, qum aiiribue à Hippocraie. Gependani je iiens que les Espriis, iels que le nosire, soni cre dans le iemps ei exemis de ces reyoluiions apr la mori, oar ils oui un rappori ioui pariiculier au souverain estre, un rappori, disje, qu’ils doiveni conserver sei ce Dieu à legard n’esi pas seulemeni cause, mais encor seigneur ; cesi ce que la religion ei mesme la raison nous enseigne]. Si les Corps nesioieni que de simples Machines, ei sil n’y avoii que de Teiendue ou de la mallere dans les corps, il esi demonsirable que ious les corps ne


  • ) 2)tc s ] bebeuten, bag bad Gindcflojlene bei der tibfrift be9 Sriefe« ttxgbleibeit fottte.