neur national. Nous ne saurions trop dire pourquoi ce projet n’a pas eu de suite. Il nous semble, cependant, que ceux qui l’avaient formé n’étaient pas dans le tort ; l’événement, du moins, leur a donné raison.
Quoi qu’il en soit, et comme dans toutes les choses humaines, d’ailleurs, les avis étaient partagés. On argumentait de part et d’autre. La discussion devint même publique et se fit jour dans les feuilles de la ville, notamment dans l’Ordre, si nos souvenirs ne nous trompent pas.
Notre intention n’est pas de ramener devant nos lecteurs un sujet qui a déjà donné lieu dans le temps à trop d’explications acrimonieuses ; mais nous ne pouvons nous empêcher de faire remarquer combien, souvent, il est imprudent de venir, pour des motifs honnêtes sans doute, mais certainement indiscrets, se jeter en travers d’un bon mouvement, ou enrayer un