Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/96

Cette page n’a pas encore été corrigée

Pour consoler nos sens des brouillards d’ici-bas,
Quelque gage odorant des fleurs qu’on ne voit pas.
Et pourquoi non ! qui sait quel souffle salutaire,
Des grèves de la mort, peut venir à la terre !
Pour nous autres rameurs de ce triste vaisseau,
La Floride peut-être est au fond du tombeau.

Paris, 1825.