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Et jamais pour l’amour… qui l’obtiendra peut-être.
Qu’elle ignore un regret, dont je ne suis pas maître,
Et ne s’applique pas mon trépas sur le cœur,
Comme un fard inventé pour parer sa langueur !
Que mon cadavreau moins, quandj’aivendumonâme,
Ne serve pas d’enseigne au boudoir d’une femme !