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Au désespoir !
Assez. Ton entretien m’offense : Va-t’en. Ne sooille plus l’honneur de mon foyer, Et poursuis, loin de moi, ton terrible sentier.
3. Outtuljt. Il est temps, je le vois, que la mort me délivre ; Je ne puis plus souffrir, et je ne veux plus vivre.
<8. Slrll à part, mais tout haut. Et j’ai pitié de lui !.. jeune, et si criminel ! Rameau flétri d’un tronc si noble ! Dieu du ciel ! Un petit fils de roi, courbé par la prière, L’héritier de Rodolphe est là, dans ma chaumière, Qui vient d’un pauvre pâtre implorer la bonté, Et demande, en pleurant, grâce à sa charité !
3. b’xlutrirhe. Plaignez-moi d’être né si près de la puissance. Si vous saviez le poids que pèse la naissance, Quand prince, il faut se voir, à l’enfance arrêté, Blanchir servilement dans la minorité !