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Près de vous, plus qu’ailleurs, j’espérais un refuge…
Vous avez pris aussi la vengeance pour juge…

« . « tell.
Oses-tu par hasard te comparer à moi ?
D’un sicaire en démence as-tu vu quelque loi
De ton fils, par tes mains, menacer la faiblesse,
Et confier sa vie aux hasards de l’adresse ?
Etais-tu père, époux ? Tu n’avais point d’enfans !
Tu n’as jamais connu les droits que je défends,
La paix… la sainteté du foyer domestique !
Voulais-tu relever l’égalité publique,
Prévenir la terreur, la ruine des tiens,
Et sur un sol plus pur rasseoir des citoyens ?
Jamais. C’était pour toi que s’armait ta furie :
Tu n’as vu que toi seul où j’ai vu la patrie.
J’ai vengé la nature, et toi tu t’es vengé.
Moi, j’ai puni, bourreau ; toi, tu n’as qu’égorgé !
Va-t’en !

3. b’2lutnd)c.
Vous me chassez… sans pitié… sans clémence !…