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Donne-moi tes beaux ans, mon ange, à réunir.
De leurs moindres lueurs dorant ton avenir,
Si je ne le vois pas, qu’au moins je le devine,
Et vers le ciel douteux, que la mort nous destine,
Que je puisse, avec toi m’entretenant toujours,
Emporter tout entier le roman de tes jours !