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ifatrà.
L’exigeante tristesse !
Comment douter de moi, qui t’obéis toujours,
Qui de ta volonté fais l’ordre de mes jours ?

Saotllo.
J’ai soin de ne vouloir que ce qui peut te plaire.

ôiattit.
Que ta froide douceur me cache de colère !
Sois donc juste une fois, ou du moins généreux ;
Je crois que ton bonheur est d’être malheureux.

Saotllo.
Je sens que je puis l’être.

* fléatrir.
Et tu souffres d’avance ? âûoflla. L’avenir me fait mal, comme l’expérience.
fitatrir. Et pourquoi de si loin respirer ses poisons ; Quel philosophe amer t’a donné ces leçons !