Page:Lefèvre-Deumier - Confidences, 1833.djvu/127

Cette page n’a pas encore été corrigée

Htaint.

Puis-je te séparer, insensé ! de ta gloire. Tu n’éprouves donc plus de bonheur à me croire ? Si tu deviens jaloux jusqu’à me soupçonner, Dis-moi ce qu’il me reste encore à te donner. Quels charmes, quels attraits m’ont peuplé ces retraites ? J’ai quitté les plaisirs…
SavtUa.
Hélas ! tu les regrettes.
Jusqu’en ces lieux d’ailleurs, où je vis inconnu,
Le tumulte de Rome est déjà parvenu.
L’écho qui dit mon nom ne t’a-t-il pas suivie ?
Tu n’estimes de moi que l’éclat de ma vie :
Je perdrais ton amour, en perdant cet éclat,
Je perdrais tes regards… et tu m’aimes !…

fltotrir.
Ingrat !
8avdla. Ah ! si l’on est ingrat par excès de tendresse, Le seras-tu jamais ?