Page:Leconte de Lisle - Poèmes barbares.djvu/244

Cette page a été validée par deux contributeurs.
234
POÈMES BARBARES.


Mais ce spectre, ce cri, cette horrible blessure ?
Cela dut m’arriver en des temps très anciens.
Ô nuit ! Nuit du néant, prends-moi ! — La chose est sûre :

Quelqu’un m’a dévoré le cœur. Je me souviens.