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Deuxième siècle.

de l’Église : « On doit obéir à la volonté de Dieu, non parce que ce qu’il ordonne est bon, mais parce qu’il l’ordonne. » Non quia bonum est, sed quia Deus præcepit. Nous devons en conclure qu’il n’y a ni bien, ni mal en soi, quoiqu’en dise notre conscience, mais seulement la volonté de Dieu ; car Gerson, l’auteur de l’Imitation de Jésus-Christ, nous dira plus tard : « Les choses étant bonnes parce que Dieu veut qu’elles soient telles, il voudrait leur contraire que cela même deviendrait le bien. »

Tertullien devint Montaniste vers la fin de sa vie et traita les Catholiques d’animaux.



Fin du deuxième siècle.