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XIII

Sur une statue d’Aphrodita Ouranienne.


Ce n’est pas Kypris populaire ; implore cette Déesse en la nommant Ouranienne. C’est un anathème de la chaste Khrysogona, consacré par elle dans la maison d’Amphiklès, dont elle partage la vie et dont elle a des enfants. D’année en année, leur destinée a été plus heureuse, car ils ont toujours commencé par t’honorer, ô Vénérable ! Et les mortels prospèrent qui ne négligent pas les Immortels.






XIV

Épitaphe d’Eurymédôn.


Tu as laissé un fils enfant, et, mort toi-même pendant ta jeunesse, on t’a élevé ce tombeau. Maintenant, ta place est parmi les hommes divins, et tes concitoyens honoreront ton fils, sachant qu’il est né d’un homme de bien.