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porte du Hadès, grâce à ces poisons terribles que je garde dans une corbeille et que je tiens d’un hôte Assyrien. Mais tourne tes chevaux vers l’Okéanos, ô Vénérable ! Moi, je subirai mon mal, comme je l’ai déjà subi.

Adieu, Sélana au visage luisant ! Adieu, vous aussi, Astres, compagnons du char de la Nuit tranquille.