Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
151
TROISIÈME PARTIE.
Mon enfant ! ô ma douce lumière,
Charme et vivant reflet de mon aube première,
Qui resplendis dans l’ombre où je me consumais,
Rien, rien ne pourra plus nous séparer jamais !
- Ils restent embrassés. Le Chœur des femmes entre précipitamment.