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Afin qu’abandonnant au vol de vos étraves,
Les mondes disparus dans l’abîme sombres,
Sous la stupeur des temps par le trépas murés,
De la vie éternelle inutiles épaves,

Dans votre vision vous regardiez grandir,
Vers l’inconnu futur élargissant ses ailes,
Hors de l’océan mort des étoiles mortelles,
Hors de votre zénith, hors de votre nadir,

L’être renouvelé des genèses nouvelles ?