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Quand, dans la forge ardente où mon destin se mure,
Laissant le bruit humain expirer à mon seuil,
Ma main marie, ainsi que le corps à l’armure,
La chair de la douleur au métal de l’orgueil.
Quand, dans la forge ardente où mon destin se mure,
Laissant le bruit humain expirer à mon seuil,
Ma main marie, ainsi que le corps à l’armure,
La chair de la douleur au métal de l’orgueil.