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Parmi les glaives droits et les fleurs délétères,
Dédaigneux de cette heure où, pour nous terrasser,
L’innombrable Mort tend ses rets dans nos artères,
Indifférents et doux, et sans regards, passer.
Parmi les glaives droits et les fleurs délétères,
Dédaigneux de cette heure où, pour nous terrasser,
L’innombrable Mort tend ses rets dans nos artères,
Indifférents et doux, et sans regards, passer.