parties ; une placée au-devant de l’astragal, et portant le deuxième et le troisième cunéiforme, et une en-dedans de l’astragal, portant le cunéiforme du pouce, et un os surnuméraire applati, posé le long du bord interne du tarse. C’est la même disposition dans la marmotte.
Le porc-épic et le paca ont le scaphoïde divisé ; mais l’os surnuméraire n’existe pas dans ces animaux.
L’écureuil a cette partie interne du scaphoïde extrémement petite ; elle ne porte point le cunéiforme du pouce.
Dans tous, le scaphoïde forme un tubercule sous la plante : celui du paca est alongé.
Parmi ceux qui n’ont que quatre doigts, la gerboise du cap, qui a le pied très-alongé, a le tubercule inférieur du scaphoïde alongé et fort saillant. Sur le bord interne du tarse sont des os plats alongés, qui sont probablement des rudimens de pouce.
Il n’y a rien de semblable dans le lapin et le lièvre, animaux qui ressemblent à la gerboise par le tubercule du scaphoïde.
Dans le cabiai et l’agouti, qui n’ont que trois doigts, il y a cette partie interne du scaphoïde, qui porte un seul os servant de premier cunéiforme et de rudiment de pouce en dehors ; sur le cuboïde est un petit os servant de rudiment de petit doigt.
Parmi les édentés, le tarse du paresseux à trois