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dernière maladie et mort

Qui n’entrerait dans ce sentiment, au souvenir des vertus de notre sainte ?

Le lis très pur s’était incliné un instant, sous le souffle de la mort. L’instant d’après, sous le souffle de l’Esprit divin, il se relevait dans toute sa beauté ; plus beau même, plus parfumé que jamais : indice de la magnificence que le ciel lui prodiguait déjà dans ses parvis éternels.