Il est, en effet, bien peu de points du dogme catholique — s’il en est — qu’on n’ait pas essayé de critiquer par tous les moyens, mais il n’en est pas dont on soit parvenu à anéantir ni même à amoindrir la valeur. Ces principes ne sont-ils pas d’accord avec nos meilleures aspirations ? La confession, par exemple, mérite la rémission des péchés à tous ceux qui manifestent un sincère repentir, s’en accusent au confesseur, en demandent le pardon et nourrissent le ferme propos de réparer le lort qu’ils ont occasionné et de marcher droit, à l’avenir, dans le chemin du dei voir. Quoi de plus naturel pour un cœur bien né, une conscience éclairée par la notion du devoir, que de se repentir du mal commis, d’en solliciter humblement le pardon et de promettre de mieux se conduire désormais ? Et nous le savons, quoi de plus doux au divin Offensé que de répondre par le pardon à d’aussi nobles sentiments ? Il est bien des questions particulières très complexes, très difficiles à saisir clairement. Mais l’apologétique dissipe les objections et démontre les vérités de la doctrine catholique. L’adhésion ferme et inébranlable à ces vérités résulte de la vertu infuse de la foi qui est un don de Dieu.
religion nous conduit sûrement, il faut observer les préceptes du Décalogue et les devoirs de son état. « Si vous voulez entrer dans la vie, gardez mes commandements. » Le Christ nous a en-