Page:Leblanc - Victor de la brigade mondaine, 1934.djvu/129

Cette page a été validée par deux contributeurs.
124
VICTOR, DE LA BRIGADE MONDAINE

— Zut ! »

Ils se quittèrent.

Victor prit l’ascenseur. Il n’avait aucune hésitation, et il ne songeait même pas qu’il fût possible d’en avoir, et qu’une décision différente pût être adoptée par lui.

Il se disait :

« C’est cela, et ce n’est pas autre chose. Il est même curieux de constater à quel point les circonstances jouent en faveur de mes projets. Seulement, il faut se dépêcher. J’ai quinze minutes devant moi… vingt tout au plus. »

Dans le couloir, la porte d’Alexandra s’ouvrit, et la jeune femme apparut en toilette de ville, comme si elle descendait pour le thé.

— Il marcha sur elle, la prit à l’épaule, et la repoussa dans son appartement.

Elle résista, irritée. Qu’y avait-il donc ?

« L’hôtel est cerné par la police. On perquisitionne. »