Page:Leblanc - Les Lèvres jointes, paru dans Le Journal et La Lanterne, 1897-1901.djvu/20

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Elle me regardait en souriant, sans aucun embarras. Elle ne me semblait plus si laide, déjà. De fait, par leur expression douce et profonde, ses yeux rachetaient les défauts du visage. Elle me prit la main.

— Viens, dit-elle.

Et elle me conduisit au second étage, dans sa chambre. Les murs en étaient blancs, l’aspect d’une grande propreté et d’un ordre