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Enfin, il fut heureux. Mais l’âge vint. Il craignit que sa santé ne résistât pas à un labeur si formidable. Prudemment, il planta là tous ses correspondants et disparut.

Aujourd’hui, il vieillit dans son pays natal. Ses paperasses sont étiquetées et cataloguées. Le soir, il réunit les amis d’autrefois et il lit quelques-unes de ses lettres, principalement celles qu’il s’est adressées de la part de personnages importants.

MAURICE LEBLANC
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