Page:Leblanc - Le Bouchon de cristal, paru dans Le Journal, 25-09 au 09-11-1912.djvu/248

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Et, se tournant vers Prasville, il reprit :

— Mais alors, monsieur Prasville, cet individu dont vous m’avez parlé et que, d’accord avec M. le chef de la Sûreté, vous faites surveiller, depuis hier soir, dans son appartement de la place Clichy… cet individu n’est pas Arsène Lupin ?

— Si, monsieur le préfet. Là-dessus, non plus, aucun doute.

— On ne l’a donc pas arrêté quand il est sorti cette nuit ?

— Il n’est pas sorti.

— Oh ! oh ! cela devient compliqué.

— Très simple, monsieur le préfet. Comme toutes les maisons où l’on retrouve les traces d’Arsène Lupin, celle de la place Clichy a deux issues.

— Et vous l’ignoriez ?

— Je l’ignorais. C’est tout à l’heure que