Page:Leblanc - Le Bouchon de cristal, paru dans Le Journal, 25-09 au 09-11-1912.djvu/224

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Dans un objet que Daubrecq est venu chercher, il y a quelques jours, sur la table de son bureau, en sa maison du square Lamartine, objet que, moi, je lui ai repris hier, dimanche.

— Et cet objet ?

— N’est autre qu’un paquet de tabac, de tabac maryland, qui traînait sur cette table.

Prasville fut pétrifié. Naïvement il murmura :

— Ah ! si j’avais su ! J’y ai touché dix fois à ce paquet de maryland. Est-ce bête !

— Qu’importe ! dit Clarisse. L’essentiel est que la découverte soit effectuée.

Prasville fit une moue qui signifiait que la découverte lui eût été beaucoup plus agréable si elle avait été effectuée par lui. Puis il demanda :