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rendons à césar…


Voici l’histoire de quelques affaires dont l’opinion publique, peu d’années avant la guerre, s’émut d’autant plus qu’on ne les connut que par fragments et récits contradictoires. Qu’était-ce que ce curieux personnage qui avait nom Jim Barnett, et qui se trouvait mêlé, de la façon la plus amusante, aux aventures les plus fantaisistes ? Que se passait-il dans cette mystérieuse agence privée, Barnett et Cie, qui semblait n’attirer les clients que pour les dépouiller avec plus de sécurité ?

Aujourd’hui que les circonstances permettent que le problème soit exposé dans ses détails et résolu en toute certitude, hâtons-nous de rendre à César ce qui est dû à César, et d’attribuer les méfaits de Jim Barnett à celui qui les commit, c’est-à-dire à l’incorrigible Arsène Lupin. Il ne s’en portera pas plus mal…



Imprimé et publié en conformité d’une licence décernée par le Commissaire des brevets sous le régime de l’Arrêté exceptionnel sur les brevets, les dessins de fabrique, le droit d’auteur et les marques de commerce (1939). E. V. M.