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ARMELLE ET CLAUDE

Ils se remirent en marche le long des fortifications, du côté de la Muette. Ils se hâtaient, en un désir confus de séparation. Devant la grille d’un jardin, Armelle tendit la main à Claude :

— Me voici arrivée… venez me voir bientôt, je suis toujours chez moi à la fin de l’après-midi.

Elle ouvrit la porte. Immobile, Claude écouta les pas qui s’éloignaient sur le sable des allées.